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 Sauve-moi... [OS/Kat-tun]

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kat-tunnette
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kat-tunnette


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MessageSujet: Sauve-moi... [OS/Kat-tun]   Sauve-moi... [OS/Kat-tun] Icon_minitimeVen 1 Mai - 1:25

*Ueda*

Une fois encore je me retrouve en route pour sa maison. C’est à chaque fois pareil, dès que mes parents et moi ne sommes pas d’accord ou qu’une dispute éclate je vais me réfugier chez lui. Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs il ne m’a pas encore fermer la porte au nez. Je me repose trop sur lui, mais aujourd’hui j’ai vraiment besoin que quelqu’un m’écoute et me comprenne.

C’est encore pour cette histoire de mariage arrangé que je suis partis de chez moi se soir. Mon père essaye par tous les moyens de me faire accepter ce mariage. Bien sur je suis contre ! Pourquoi devrai-je faire la même erreur qu’eux ? Un mariage où les mariés ne s’aiment et ne se connaissent pas. Pourquoi veulent-ils ça pour leur enfant ?
Je voudrai juste qu’ils comprennent que j’ai besoin d’amour et de temps avant de penser au mariage.

Voilà enfin sa maison. Ma voiture ralentie et je me gare pour ne pas gêner, et descend tant bien que mal de mon véhicule. Mes yeux se remplissent de larmes et quand enfin la porte s’ouvre sur mon ami j’éclate en sanglot. Sous la violence de mon chagrin mes jambes se plient et je sens le sol s’approcher dangereusement de moi. Mais à son habitude Koki et plus rapide que mes jambes et me rattrape avant que le sol et moi rentrions en contact.
Il me sert dans ses bras et quand il me fait rentrer dans sa maison si paisible je refuse qu’il me lâche. Cette sensation de protection et de sureté et devenu ma drogue et à chaque fois que je vais mal seul ces bras peuvent me calmer. Je me blottis contre lui et voyant qu’il ne réussira pas à me détacher de lui, Koki décide de rentrer tant bien que mal dans la cuisine et me fait asseoir.
Il me fait lâcher prise et me prend, dans un geste extrêmement tendre, mon visage entre ces mains. Il met son visage prêt, très prêt….Trop Prêt du mien. Je me sens rougir et dans un éclair de désir je voudrais qu’il m’embrasse et ….

« Alors dis-moi se qui c’est passé se soir avec tes vieux pour que tu débarque dans cet état chez moi ? »

Je reviens en vitesse sur terre et essaye tant bien que mal de chasser les idées qui me trottent dans la tête. Devants mon silence il me regarde avec insistance et je ne peux m’empêcher de laisser passer entre mes lèvres un doux gémissement de plaisir. J’espère juste qu’il ne l’aura pas entendu et avant que je sache si oui ou non c’est le cas je commence à lui raconter ma journée…






*Koki*

Une fois de plus je l’ai trouvé devant ma porte en pleure. Comme à son habitude il n’a pas voulut me lâcher quand je l’ai pris dans mes bras et une fois encore la raison de sa présence ici et dut à se foutu mariage.
Pourquoi ces parents cherchent-ils à tout prix à la marier ? Quoi que je dois dire que avec ou sans raison je ne laisserai pas se mariage avoir lieu t’en que cette petit chose qui en dans ma cuisine en train de parler à vitesse de 200 mots par seconde ne voudra pas de cette fille.
Je serai même prêt à kidnapper le marié si ce mariage avait lieu contre le gré de Tat-chan !

Je dois avouer que depuis toute à l’heure je n’ai pas réussis à comprendre une seule phrase de Tatsuya, mais je me contente de rester prêt de lui en espérant que cela lui fasse un peu de bien. Il est si beau…Non koki on se calme. Il est là devant moi en larmes. Je voudrai tellement le prendre dans mes bras et ne plus jamais le lâcher.
Oui mais le problème et bien là. Je sais que si je me laisse aller je ne pourrai plus m’arrêter. J’ai tant envie de lui. De chaque parti de son corps. De ses lèvres si douce, de se corps si frêle et dur à la fois. Tout en lui m’excite. Je voudrai le faire mien, ici; là toute de suite, mais bien sur mon cerveau qui contrôle encore mon corps m’en empêche. De plus si je le faisais je sais qu’il ne me le pardonnera jamais. Et je ne tiens pas à le perdre ! J’en mourrai !

« Koki tu vas bien ? »

Je reviens enfin à moi quand j’entendis sa douce voix. Je remarquai par la même occasion qu’il venait de se lever pour venir se blottir contre mon torse. Il passa ses bras autour de ma taille et posa sa tête au niveau de mon cœur.
Mon cœur explosa sous la chaleur de se corps qui maintenant se presser au mien. Je pris tout le pouvoir qui était en moi pour éviter de lui sauter dessus. Il était si proche. Je pouvais sentir la douce odeur de son eau de toilette. C’était celle que Kame lui avait offerte pour son anniversaire. Je réussis à sentir chaque fragrance et bientôt me rendis compte qu’il était trop tard…..






*Ueda*

Je ne réussis pas à réagir assez vite et je sentis le froid de la porte de placard contre mon dos nu. Sans que je comprenne, je venais de voir ma chemise partir de mon torse et mon corps plaquer contre les placards de la cuisine de Koki.
Je voulus voir le visage de Koki, savoir se qui se passer, mais le temps que je relève ma tête je me retrouvai la tête et le torse contre cette surface froide et les bras derrière le dos coincé par l’une des mains de Koki.
Je ne réalisai pas ce qui se passais, jusqu’au moment où une main parcourut mon corps tout en le libérant des vêtements qui me rester. Je sentis les lèvres de Koki se pressaient contre ma nuque et ce contact m’arracha un gémissement de plaisir. Il fit jouer sa langue le long de mon cou avant de se décider à me pencher la tête pour pouvoir m’embrasser. Un baiser violent et rapide, sans douceur, mais avec pêché.
Bien qu’il me tenait toujours les poignets, son autre main commença à se balader vers mon intimité et avant que je puisse dire non il commença des violents mouvements de va et vient. Ce qui m’arracha une série de douloureux cris, qui bientôt se transforma en gémissements plus rauque.
Je commençai à aimer cette sensation de domination et soudain pris par un torrent de sensation plus extrême les unes que les autres, je me libérai dans la main de mon tortionnaire. Sous le choc de cette orgasme mes jambes lâchèrent et je me retrouvai coincé a mi-chemin avec le sol, car mes poignets toujours pris au piège me retenaient avec douleur dans une position mi-debout, mi-assis.
Mes bras me tiraient, mon ventre se tordait et sous le choc du geste qu’il venait de faire je jouis une fois encore sans pouvoir reprendre pied. Il venait sans le moindre avertissement ni préparation de me….






*Koki*

Je suis un monstre. Pourtant je n’arrive pas à m’arrêter. Je viens de le pénétrer avec violence et pourtant il ne cris pas. Il laisse échapper de petits gémissements si excitant et à chaque fois que sa voix se fait entendre je n’arrive plus à réfléchir et mon corps s’abandonne de plus en plus à se besoin bestiale de posséder ce corps si brûlant dans lequel je suis.
Je refuse de le blesser pourtant tout en moi le veut et je sais bien que le prendre de cette façon en l’empêchant de voir mon visage le tue mais je veux encore le sentir si soumis à chacun de mes désirs. Cela fait si longtemps que je veux le violer que maintenant que c’est le cas je compte en profiter. Si l’on doit me tuer pour mon crime ou m’envoyer en enfer, je souhaite avant de partir profiter de se corps qui depuis des mois me fait brûler de désir.
Je sens mes mains lâcher prise autour de ses poignets et sous se geste je vois Tat-chan poser ses paumes sur la porte du placard pour pouvoir prendre appui. Je le vois petit à petit se cambrer de plus en plus et bientôt je vois ses adorables hanches faire de léger mouvement circulaire, qui on le don de me donner encore plus envie de son corps.
Tous ses petits gestes, petits cris et autres me rende fou et jamais je ne pourrai arrêter s’il est si séduisant.

Soudain je le vois passer une jambe par-dessus moi et sans que je sache comment il se retrouve en face de moi. Il plonge ses yeux si humides par le plaisir dans les miens et avec brusquerie écrase ses lèvres contre les miennes. Alors commence une explosion de douceur dans ma bouche et je sens son corps faire des mouvements de plus en plus rapides pour me donner le plus de plaisir. Toutes sortes de questions passe dans ma tête mais je ne me sens plus le courage d’y penser quand enfin il stoppe ce baiser pour planter un regarde déterminer dans le mien et me laisse entendre dans un ultime gémissement de sa part :

« Aishiteru »






*Ueda*

Doucement une chaleur inconnue inonde mon corps et nous nous retrouvons tout les deux par terre à bout de souffle.
Ses yeux se remplissent de larmes et bientôt je l’entends prononcer des paroles qui… :

« Gomen…je … gomen ! Je t’aime depuis si longtemps et je n’ai pas pu….
-Aishiteru ! AISHITERU ! »

Je plaque ma bouche pour lui faire comprendre dans se baiser que je l’aime tellement. Je l’aime au point de fuir ma famille, de passer pour un homme anormal aux yeux de la société. Je suis prés à mourir pour lui et je compte bien lui faire comprendre !
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